Chapitre 5 : l'utilisation des Tarots

Jeu de hasard : tentez de tricher sans vous faire prendre et remportez la partie. 

Depuis les aurores de l'humanité, le jeu a tissé des liens profonds avec l'essence même de ce que signifie être humain. De nos ancêtres préhistoriques qui s'adonnaient probablement à des compétitions de course ou de lancer de pierres aux civilisations antiques qui vénéraient les jeux de stratégie et d'adresse, le jeu a toujours été un compagnon fidèle dans le voyage de l'homme à travers les âges.

Dans les premières sociétés, le jeu était souvent intimement lié aux rituels religieux ou aux célébrations communautaires. Les dés, les os gravés et autres artefacts ont été découverts dans des sites archéologiques à travers le monde, témoignant de la propension innée de l'homme à se divertir et à se défier. Ces activités ludiques n'étaient pas simplement des passe-temps, mais des moyens de renforcer les liens sociaux, de développer des compétences essentielles à la survie et même de donner un sens à l'existence.

Au fil du temps, le jeu a évolué pour devenir un pilier de la culture humaine. Des jeux de société sophistiqués de l'Égypte ancienne aux amphithéâtres romains où des foules en délire assistaient à des combats de gladiateurs, le jeu a revêtu différentes formes, reflétant les valeurs, les croyances et les préoccupations de chaque époque.

Le Moyen Âge a vu l'émergence des tournois de chevalerie et des jeux de stratégie militaire, tandis que la Renaissance a apporté une explosion de créativité dans les arts ludiques, avec des échecs ornés et des énigmes à résoudre. Au fil des siècles, le jeu a également été utilisé comme outil d'éducation, de simulation et même de réflexion philosophique.

Le jeu continue d'être un reflet de la condition humaine, explorant des thèmes tels que la compétition, la coopération, la chance et la stratégie. Il reste un moyen de se divertir, de se détendre et de se connecter avec les autres. Et, au fond, il demeure un rappel de notre capacité innée à imaginer, à explorer et à créer, un trait fondamental qui nous distingue en tant qu'êtres humains.

Le hasard est omniprésent dans nos vies, influençant nos destins de manière souvent imprévisible. Cette incertitude a fasciné et intrigué les gens depuis des siècles, conduisant à une variété de réponses et de comportements face au hasard. D'une part, le hasard a souvent été craint et évité. Dans de nombreuses cultures, les événements aléatoires étaient interprétés comme des signes des dieux ou des forces surnaturelles, et les gens cherchaient à les éviter ou à les apaiser par des rituels et des sacrifices. La peur de l'inconnu et de la perte a conduit certains à chercher des moyens de contrôler ou de prédire le hasard, que ce soit par des pratiques divinatoires, des superstitions ou des jeux de hasard eux-mêmes.

Dans l'Antiquité romaine, les jeux de dés étaient bien plus que de simples divertissements. Ils étaient considérés comme des moyens de communiquer avec les dieux et d'anticiper le destin. Chaque lancer était chargé de significations divinatoires, où la chance et la providence se mêlaient étroitement. Obtenir certains résultats, comme trois six simultanément, était interprété comme des signes de faveur divine. Malgré des tentatives pour garantir un jeu équitable, la volonté des dieux restait souveraine. Ainsi, les dés étaient à la fois des outils ludiques et des portails vers l'inconnu, révélant parfois des secrets du destin humain sous le regard des puissances célestes.

D'autre part, le hasard a également été célébré et embrassé. Les jeux de hasard ont une longue histoire dans toutes les cultures, offrant aux gens un moyen de divertissement, d'excitation et parfois même de compétition. Les jeux de dés, de cartes et de paris étaient courants dans les sociétés anciennes et étaient souvent associés à des rituels festifs ou à des célébrations communautaires.

Au fil du temps, les attitudes envers le hasard ont évolué, mais il reste une force omniprésente dans nos vies. Dans la société moderne, le hasard est souvent perçu à la fois comme une source de danger et d'opportunité. Les jeux de hasard peuvent être à la fois divertissants et risqués, attirant des millions de personnes dans l'espoir de gagner gros tout en sachant que les chances sont souvent contre eux.

En fin de compte, le rapport des hommes avec le hasard est profondément ancré dans la nature humaine. Que ce soit en cherchant à le contrôler, à le prévoir ou à en profiter, le hasard continue d'exercer une influence puissante sur nos vies et nos décisions, reflétant notre fascination éternelle pour l'incertitude et l'inconnu.

Le tarot, à ses débuts, était très probablement un simple jeu de cartes utilisé principalement à des fins ludiques, de stratégie et de hasard. À l'origine, le tarot était simplement utilisé comme un jeu de société, où les joueurs s'affrontaient dans des parties de cartes compétitives. Les atouts étaient utilisés pour remporter des plis et marquer des points, tandis que les autres cartes servaient à des mécanismes de jeu similaires à ceux des jeux de cartes traditionnels.

A mesure que les jeux de cartes gagnaient en popularité dans les tavernes et autres lieux de rassemblement du peuple, ils sont rapidement devenus associés aux jeux d'argent. Les jeux de cartes offraient une forme de divertissement excitante et compétitive, mais aussi la possibilité de parier de l'argent, ce qui ajoutait une dimension supplémentaire à l'expérience de jeu. Les jeux d'argent étaient monnaie courante dans les tavernes et autres établissements de divertissement de l'époque. Les gens se réunissaient pour jouer aux cartes, parier sur des jeux de dés et participer à d'autres formes de jeux de hasard. Ces activités étaient souvent tolérées, voire encouragées, par les propriétaires d'établissements, car elles attiraient des clients et généraient des profits.

Cependant, l'Église et d'autres autorités religieuses étaient souvent méfiantes à l'égard des jeux d'argent, les considérant comme des activités associées au vice et à la débauche. Les jeux de cartes en particulier étaient souvent critiqués pour leur association avec la tromperie et la fraude. Les cartes elles-mêmes étaient parfois considérées comme des instruments du diable, en raison de leur association avec des jeux d'argent et d'autres activités considérées comme immorales.

Cette perception négative des jeux de cartes et des jeux d'argent en général a conduit à des efforts pour les réglementer et même les interdire dans certains cas, parfois même les détruire comme nous l'avons déjà dit. Cependant, malgré ces réticences, les jeux de cartes sont restés extrêmement populaires et ont continué à prospérer dans les tavernes et autres lieux de socialisation, souvent en dépit des interdictions officielles. 

Découvrez ce podcast de 25 min autour de l'histoire des jeux et des jouets au Moyen-Âge. 

L'émergence du tarot coïncide avec l'essor du courant humaniste, une période riche en bouleversements intellectuels et culturels où l'individu et son éducation étaient au centre des préoccupations. En 1420, un jeu de cartes fut spécialement conçu pour Filippo Maria Visconti par Marziano da Tortona. Bien que le jeu lui-même ait été perdu au fil du temps, la notice explicative qui l'accompagnait a été préservée, révélant un usage du jeu bien au-delà du simple divertissement.

Cette notice suggère une double fonction pour les cartes : d'une part, elles étaient un moyen de divertissement, mais d'autre part, elles servaient également de support d'identification et de méditation. Les figures héroïques présentes sur les cartes invitaient les joueurs à s'identifier à elles, à s'approprier les vertus qu'elles incarnaient et à réprouver les vices qu'elles représentaient. Ainsi, le jeu de cartes devenait un outil de réflexion et d'auto-examen, un moyen pour les individus d'explorer et de cultiver leurs qualités morales et intellectuelles.

Cette approche transcendantale du jeu de cartes invite à envisager un usage similaire pour les cartes de tarot. Au-delà de leur fonction ludique, les cartes de tarot auraient été conçues pour dépasser le simple jeu de hasard et offrir un support de méditation. Chaque carte, chargée de symboles et de significations, aurait permis aux joueurs de plonger au plus profond d'eux-mêmes, de méditer sur leur propre chemin de vie et d'explorer les vérités universelles qui sous-tendent l'existence humaine.

À l'aube de la Renaissance, vers 1465 à Ferrare, un autre jeu voit le jour, s'inscrivant parfaitement dans la lignée des jeux d'édification qui transcendent le simple divertissement pour devenir des outils d'apprentissage et d'élévation spirituelle. Le tarot de Mantegna, nommé ainsi bien que ne soit ni un tarot ni l'oeuvre du célèbre artiste Mantegna, incarne parfaitement cette transition vers un usage plus profond et instructif des jeux de cartes.

Contrairement au tarot traditionnel, le tarot de Mantegna se compose de 50 gravures réparties en 5 groupes distincts. Chaque série de cartes représente un aspect spécifique de l'existence humaine : la hiérarchie humaine, Apollon et les Muses, les Arts libéraux et Sciences, les Principes cosmiques et vertus, et enfin les Planètes et sphères célestes. Cette structure révèle une intention claire : éduquer et inspirer ceux qui contemplent ces images.

Destiné à un public cultivé, le tarot de Mantegna était conçu pour susciter des discussions profondes et nourrir l'esprit de ceux qui le contemplaient. Tout comme le tarot traditionnel, il raconte une histoire d'ascension spirituelle, invitant les observateurs à méditer sur les grandes questions de l'existence et à s'élever vers des idéaux supérieurs. De plus, contrairement aux épaisses cartes de tarots manipulables, les cartes du tarot de Mantegna étaient délicates, imprimées sur un simple papier. Cela suggère qu'elles étaient davantage destinées à être admirées et étudiées qu'à être utilisées pour des jeux de hasard.

Ainsi, tout comme le tarot de Mantegna, le tarot traditionnel pourrait avoir été conçu avec une intention similaire : celle d'être un outil d'apprentissage et de modèle d'ascension spirituelle. En regardant au-delà de leur apparence de simples jeux de cartes, on découvre des artefacts riches de sens, conçus pour élever l'esprit et guider ceux qui cherchent la sagesse et la vérité.

Dans l'univers symbolique et ésotérique du tarot, chaque carte porte en elle des significations profondes, des récits cachés, et parfois même des messages politiques subtils. Au fil des siècles, le jeu de tarot a été utilisé comme un moyen de transmettre des idées, des valeurs et même des critiques sociales et politiques.

Pendant la Révolution française, alors que les fondements de la société étaient ébranlés, le tarot fut revisité pour refléter les idéaux révolutionnaires. Les symboles monarchiques et religieux furent remplacés par des figures représentant la liberté, l'égalité et la fraternité. L'Impératrice devint la Grande Mère, symbole de la sagesse et de la féminité incarnée, dépourvue des connotations royalistes. L'Hermite, qui autrefois évoquait le détachement spirituel, fut réinterprété comme le Pauvre, rappelant la nécessité de prendre soin des plus démunis dans une société en transition. Mais le plus édifiant dans ce tarot fut la suppression des rois, des reines et des valets, qui furent respectivement renommés les génies, les libertés et les égalités, conformément aux idées révolutionnaires.

Enfin, l'iconographie des cartes de tarot elle-même peut être un reflet des réalités politiques de son l'époque. Les armoiries des grandes familles ou des puissants de ce monde peuvent être discrètement intégrées dans le design des cartes, comme dans le tarot des Visconti, rappelant ainsi leur influence et leur pouvoir. Les choix artistiques des créateurs de jeux de tarot peuvent également être influencés par les courants politiques et culturels de leur temps, faisant du tarot un miroir fascinant des aspirations et des tensions de la société qui l'a vu naître. 

Les arcanes majeurs du tarot, avec leur richesse de symbolisme, peuvent également être interprétés comme des allégories politiques. L'Empereur, par exemple, représentant traditionnellement le pouvoir et l'autorité, pourrait être vu comme une critique de la tyrannie ou comme un appel à un leadership juste et éclairé. De même, l'Impératrice, symbole de fécondité et de création, pourrait être interprétée comme une représentation de la mère patrie ou comme une incarnation de la force douce du peuple. 

En outre, comme mentionné à plusieurs reprises, les autorités religieuses ont exercé diverses pressions sur les tarots jugés blasphématoires. Ils ont souvent été soumis à des ordres de destruction ou d'interdiction. Parfois, une stratégie plus subtile consistait à les faire modifier pour mieux correspondre à l'idéologie religieuse dominante, comme cela a été le cas avec le tarot bolonais ou le tarot de Besançon.

Ainsi, à travers ses archétypes et ses symboles, le tarot offre un espace riche et complexe pour exprimer des idées politiques et sociales, pour critiquer les injustices et pour célébrer les idéaux de liberté et de justice. Que ce soit pendant la Révolution française ou à d'autres moments de l'histoire, le tarot a été et reste un outil puissant (car populaire) pour donner voix aux aspirations et aux luttes du peuple.

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Le XIXème siècle a été une période de bouleversements sociaux, scientifiques et industriels marquants. Cette époque a été caractérisée par des avancées significatives dans de nombreux domaines, jetant ainsi les bases de la société moderne. Sur le plan social, les idéaux de la Révolution française, tels que l'égalité, la liberté et la fraternité, ont continué à influencer les mouvements sociaux et politiques. L'urbanisation massive due à l'ère industrielle a vu émerger de nouvelles classes sociales, avec une bourgeoisie en plein essor et une classe ouvrière confrontée à des conditions de travail souvent difficiles. Sur le plan scientifique, des découvertes majeures ont révolutionné la compréhension du monde et de l'homme. Des figures comme Charles Darwin et Louis Pasteur ont profondément marqué leurs domaines respectifs, contribuant ainsi à façonner la science moderne.

Le XIXème siècle a vu l'essor du rationalisme scientifique, perçu comme la voie vers la vérité objective. Cependant, cette approche avait ses limites lorsqu'il s'agissait de traiter des questions métaphysiques et des aspects de la réalité échappant aux méthodes scientifiques traditionnelles. C'est dans ce contexte que l'occultisme est apparu, cherchant à explorer les dimensions non visibles de la réalité et à répondre aux questions métaphysiques qui dépassaient les limites de la science rationnelle. Dans ce contexte de changements profonds, l'occultisme a trouvé un terrain fertile pour s'épanouir. Il a offert une alternative à la vision strictement rationnelle du monde, explorant des dimensions cachées et mystérieuses de l'existence. L'occultisme remet en question les valeurs de la civilisation moderne et exprime un besoin de spiritualité qui ne trouve pas satisfaction dans les religions traditionnelles ou la science.

L'origine du mot « occultisme » remonte aux années qui ont suivi la mort d'Éliphas Lévi (1810-1875), son inventeur. Il vient du mot latin « occultus », qui signifie « caché », et fait référence à des connaissances réservées à des initiés. Ces idées étaient déjà présentes au XVIe siècle, popularisées par des penseurs comme H. C. Agrippa. Ainsi, l'occultisme rassemble un ensemble de croyances ésotériques provenant de différentes traditions.

Le XIXème siècle a vu naître des mouvements comme le spiritisme et la théosophie, marquant ainsi un tournant dans l'occultisme. Le spiritisme, fondé par Allan Kardec, était basé sur la communication avec les esprits des défunts, tandis que la théosophie de Helena Blavatsky visait à explorer les lois universelles ainsi qu'à promouvoir la spiritualité universelle et la fraternité humaine. Leurs écrits, enseignements et expériences ont influencé le développement de mouvements spirituels, suscité des débats intellectuels et ouvert de nouvelles perspectives sur la nature de la réalité et la recherche de sens. Ces mouvements ont eu un impact significatif sur la culture de l'époque, influençant des personnalités célèbres et ouvrant de nouvelles réflexions sur la spiritualité et la nature de la réalité. Le mouvement des tables tournantes, popularisé par les soeurs Fox, a suscité un engouement généralisé pour la communication avec les esprits, jetant ainsi les bases du spiritisme. Les séances de spiritisme et la popularité des médiums ont contribué à l'émergence d'une sous-culture spirituelle, stimulant l'intérêt pour l'occultisme et la recherche des mystères cachés. L'ésotérisme a souvent été perçu comme une voie réservée à une élite restreinte en raison de la complexité de ses enseignements et de la nécessité d'une initiation approfondie pour y accéder. La fascination pour des pratiques comme l'alchimie, la kabbale, l'astrologie et la magie a connu un regain d'intérêt significatif, offrant des perspectives alternatives sur la réalité et la spiritualité.

Des organisations telles que l'Ordre Hermétique de l'Aube et l'Ordre du Temple ont joué un rôle important dans la transmission et la préservation des traditions ésotériques. Elles ont attiré l'attention d'un large éventail de personnes, offrant un cadre pour l'étude de l'occultisme, des pratiques rituelles et des expériences mystiques.

Au XIXème siècle, l'occultisme a prospéré dans un contexte marqué par des changements sociaux, scientifiques et culturels majeurs. Il a offert une alternative à la vision strictement rationnelle du monde, explorant des dimensions cachées de l'existence et ouvrant de nouvelles perspectives sur la nature de la réalité et de la spiritualité. Les nouveaux mouvements de pensée ont joué un rôle crucial dans la diffusion de ces idées, marquant ainsi une période de révolution intellectuelle et spirituelle.

Depuis ses débuts, avec les travaux d'Etteilla et les différents auteurs qui se sont succédé, la divination par les cartes a continué de croître et de se diversifier. Le tarot, en particulier, est devenu un outil incontournable pour de nombreux praticiens de la voyance. Cependant, au fil du temps, de nouvelles approches ont émergé, élargissant les horizons de son utilisation.

Outre la voyance traditionnelle, le tarot est de plus en plus utilisé dans le domaine du développement personnel. De nombreux praticiens et consultants utilisent les cartes comme un outil de réflexion et d'introspection, permettant aux individus d'explorer leur propre conscience, leurs émotions et leurs défis personnels.

Une autre approche en plein essor est l'utilisation du tarot dans un contexte psychologique. Les cartes peuvent servir de support thérapeutique, permettant aux personnes de travailler sur des problèmes émotionnels ou psychologiques, et d'explorer des aspects de leur psyché souvent inaccessibles par d'autres moyens.

Le tarot est également devenu un outil populaire dans le domaine du coaching. Les praticiens utilisent les cartes pour aider leurs clients à définir des objectifs, à identifier des obstacles potentiels et à élaborer des plans d'action concrets pour atteindre leurs aspirations personnelles et professionnelles.

En outre, de nouvelles utilisations du tarot continuent d'émerger, telles que son utilisation dans l'art thérapie, la méditation guidée, ou encore dans le cadre de pratiques spirituelles contemporaines. Dans un monde en constante évolution, le tarot demeure un outil polyvalent et adaptable, offrant une multitude de possibilités pour explorer, comprendre et transformer notre expérience de vie.

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Le tarot a inspiré de nombreux artistes à travers les siècles, et son influence se retrouve dans une grande variété de formes d'art. En somme, le tarot continue d'inspirer les artistes de toutes disciplines, offrant une source infinie de créativité et d'expression artistique. Voici quelques exemples de réalisations artistiques sur ce thème :

Dans ce documentaire ARTE réalisé en 2015 par Philippe Truffault, différentes pistes historiques sont explorées sur l'origine du Tarot. Durée : 51 min

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